Des diplomates algériens décortiquent la présidentielle américaine

Des diplomates algériens décortiquent la présidentielle américaine

Le poids des États-Unis et leur influence en tant que le « Gendarme du monde » suscitent tant de questionnements sur le successeur de Barack Obama et son impact sur la relation entre Washington et Alger.

En effet, la course s’annonce très serrée entre la candidate démocrate et ancienne Secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton et le candidat républicain, Donald Trump. Ce dernier est le candidat à la présidentielle américaine ayant suscité une grande polémique, compte tenu de ses attitudes à l’égard de l’Islam, les Arabes et le tiers-monde.

En vérité, les deux candidats ont des positions diamétralement opposées vis-à-vis des questions arabo-islamiques et régionales, excepté la question palestinienne que la politique extérieure de l’Algérie continue de considérer comme fondamentale.

S’agissant de la question du Sahara occidental, la candidate démocrate a annoncé d’ailleurs à plusieurs reprises son parti pris en faveur de la position marocaine.

De l’avis de l’ancien ministre de la Communication, Mohamed Saïd estime que l’ancienne cheffe de la diplomatie américaine ait de toujours pris une position favorable à la partie marocaine. « Ce qu’attend l’Algérie du futur président des États-Unis qu’il soit plus réaliste et soit en harmonie avec les résolutions des Nations unies».