Prochainement, l’état Algérien compte régulariser la « collecte anarchique », par fois non-autorisé du corail, en effet, dernièrement trois arrêtés interministériels devant relancer la pêche au corail et fixer les procédures juridiques et mesures relatives à l’exploitation de cette ressource maritime, en partant du traitement et à la traçabilité des quantités pêchées, jusqu’à sa commercialisation.
Cette régularisation a pour but d’octroyer aux ramasseurs de corail des permis de collecte dans un cadre législative bien déterminé. Cependant plusieurs conditions sont requises afin de bénéficier de ces permis, dons les plus importants : Avoir un registre de commerce, avoir une carte d’artisan, tout en respectant la période de collecte.
Les arrêtés en cours de promulgation, auront pour objectif de préserver l’une des ressources les plus vital pour le bon fonctionnement écologique, et d’éviter ainsi, la dégradation des écosystèmes coralliens. Or malencontreusement, la surexploitation, et la collecte non- autorisé et anarchique, est la cause principale qui trouble les équilibres des récifs, et les coraux eux-mêmes.
Par ailleurs, il arrive souvent que cette richesse naturel soit détourné de sa fonction, le corail est souvent utilisé à des fins purement commerciales, en se transformant en produit de beauté, au simplement vendu au marché noir par des pilleurs sans scrupules qui bradent cette fortune nationale à valeur ajoutée à 800 et 1500 euros le Kilo (selon la qualité et la provenance).
La préservation de l’environnement est une responsabilité sociétale, chaque individu se doit d’être conscient de l’importance de sa préservation et de sa protection, pour son bienêtre, et ceux des générations futures.
D.M
