Les candidats de l’ANR résoudront le phénomène de l’économie parallèle (Sahli)

Les candidats de l’ANR résoudront le phénomène de l’économie parallèle (Sahli)

Le secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), Belkacem Sahli, a assuré jeudi à El Eulma (Sétif) que si les candidats de son parti obtenaient la confiance des électeurs, ils traiteront le phénomène de l’économie parallèle par son « intégration dans la sphère de l’économie formelle légale ».

Dans un meeting populaire animé dans le cadre de la campagne électorale des législatives du 4 mai, Sahli a assuré que « les opérateurs de l’informel se verront accordés des avantages et des facilités proposés par l’ANR afin de les amener à régulariser leurs situations et leur permettre d’activer dans la transparence et un cadre légal ».

Le secrétaire général de l’ANR a indiqué que les propositions économiques contenues dans le programme électoral de son parti représentent un modèle de « décollage économique » axé sur la rationalisation des dépenses et l’encouragement de l’investissement, assurant que « c’est là l’unique alternative offerte face aux difficultés dues à l’effondrement des cours de pétrole ».

Il a estimé que l’Algérie possède « tous les ingrédients de succès pour adopter une bonne recette économique », assurant que l’approche de son parti préconise « l’accompagnement des opérateurs économiques sans distinction des deux secteurs public et privé et une économie axée sur la concertation avec les partenaires ».

M.Sahli a également estimé qu’il « ne saurait y avoir de développement économique sans le développement de l’aspect social par la réforme de l’éducation, de la justice, le renforcement de la liberté d’expression et l’évolution du sport ».

Le responsable de l’ANR a mis l’accent aussi sur l’importance de la préservation du patrimoine culturel et religieux de la société ainsi que sur de la référence religieuse nationale.

Au terme de son intervention, Sahli a appelé les citoyens à participer avec force aux scrutin du 4 mai prochain dans « l’intérêt de l’Algérie ».