L’Algérie, un futur leader en cyber-sécurité !

L’Algérie, un futur leader en cyber-sécurité !
Loin de s’ingérer dans la question du Sahara Occidental qui ne concerne que son peuple qui revendique sa terre, l’Algérie ne fait que soutenir  cette cause juste, revendiquant la décolonisation d’un territoire spolié.
Toujours solidaire avec les peuples opprimés, l’Algérie ne peut  aujourd’hui, renier ses positions fortes connues pour les revendications légitimes du peuple sahraoui. Malheureusement, ce territoire demeure encore  revendiqué à la fois par le Maroc et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario depuis  1976,  dont l’objectif  principal demeure  l’indépendance totale du Sahara occidental, une  revendication soutenue et partagée par l’Algérie.  Depuis, ce conflit  a fini par devenir  pour  le royaume,  un enjeu global  bloquant encore et  toujours la construction de l’Union du Maghreb arabe (UMA).
Malgré que la question  soit toujours d’actualité et que le Polisario s’appuie toujours  sur un « consensus écrasant parmi les Sahraouis vivant sur le territoire en faveur de l’indépendance et en opposition à l’intégration avec tout pays voisin », tel que décrit dans un rapport de l’ONU en 1975, le Maroc  continue de fonder sa revendication sur les accords de Madrid et sur la base de liens d’allégeance passés entre les tribus sahraouies et les sultans du Maroc.
Pour le Polisario, le conflit du Sahara occidental est avant toute chose une question d’autodétermination des peuples. Il a toujours affirmé que sa seule et unique demande est l’application du droit international et en particulier le droit à l’autodétermination des peuples. En outre, l’ONU a, à plusieurs reprises, affirmé que la résolution 1514(XV) s’appliquait au Sahara occidental. Face à ses revendications si justes, l’Algérie ne peut que  soutenir ce peuple a acquérir son indépendance et vivre libre, et plaider toujours et encore pour l’application du processus du règlement définitif  de ce conflit, conformément aux décisions de l’ONU.