PARIS – Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui prenait part à Paris au Forum pour la Paix, tenu dans le cadre de la commémoration du centenaire de l’armistice de la première guerre mondiale, a plaidé pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le règlement pacifique des différends et des conflits, le respect de la souveraineté des Etats et de leur intégrité territoriale, ainsi que la non-ingérence dans leurs affaires intérieures.
M. Ouyahia a mis en exergue le rôle central de l’Organisation des Nations unies dans la promotion et la préservation de la paix et de la sécurité, en soulignant que cela exige le respect des principes fondamentaux de la Charte de l’organisation, notamment le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le règlement pacifique des différends et des conflits, le respect de la souveraineté des Etats et de leur intégrité territoriale, ainsi que la non-ingérence dans leurs affaires intérieures.
« Ces principes méritent d’être rappelés car ils demeurent bafoués dans de nombreuses situations, et il leur a même été opposé des concepts nouveaux du devoir d’ingérence » et « du devoir de protéger, des approches nouvelles qui ont eu des conséquences désastreuses dans plusieurs régions du monde », a-t-il indiqué.
Le Premier ministre a également insisté sur l’importance « du soutien que les Etats doivent apporter, sans calculs nationaux, aux différents émissaires onusiens nommés pour le règlement des conflits ».
M. Ouyahia a indiqué, par ailleurs, que « le monde a besoin d’une coopération internationale plus active contre le terrorisme et le crime transnational organisé, en mettant un accent particulier sur la mise en œuvre effective des décisions nées de cette coopération ».
Il a souligné, d’autre part, la nécessité pour la communauté internationale de « faire barrage aux divisions et aux extrémismes qui pointent ici et là en indiquant que l’Islam, religion de paix et de concorde, ne doit pas être outragée au motif des crimes de terroristes qui sont en fait des ennemis de l’Islam ».
« Ces principes méritent d’être rappelés car ils demeurent bafoués dans de nombreuses situations, et il leur a même été opposé des concepts nouveaux du devoir d’ingérence » et « du devoir de protéger, des approches nouvelles qui ont eu des conséquences désastreuses dans plusieurs régions du monde », a-t-il indiqué.
Le Premier ministre a également insisté sur l’importance « du soutien que les Etats doivent apporter, sans calculs nationaux, aux différents émissaires onusiens nommés pour le règlement des conflits ».
M. Ouyahia a indiqué, par ailleurs, que « le monde a besoin d’une coopération internationale plus active contre le terrorisme et le crime transnational organisé, en mettant un accent particulier sur la mise en œuvre effective des décisions nées de cette coopération ».
Il a souligné, d’autre part, la nécessité pour la communauté internationale de « faire barrage aux divisions et aux extrémismes qui pointent ici et là en indiquant que l’Islam, religion de paix et de concorde, ne doit pas être outragée au motif des crimes de terroristes qui sont en fait des ennemis de l’Islam ».