Après avoir multiplié les déclarations sur la suppression, la révision ou le maintien telle quelle de la règle des 49/51, le ministre de l’Industrie et des Mines s’est montré très réservé aujourd’hui sur la question.
En revanche, il n’a pas été avare en communication à propos du programme de reconfiguration des entreprises publiques, adopté jeudi dernier par le Conseil des participations de l’Etat sur lequel il est longuement revenu.
S’agissant de la future voiture algérienne Renault, Abdesselam Bouchouareb qui s’exprimait en marge de l’ouverture de la session d’automne du Parlement a indiqué que le prix de la « Symbole » n’a pas encore été fixé. Il le sera dès qu’elle sortira de l’usine, a-t-il souligné tout en se gardant de s’avancer sur la détermination du prix au tarif des voitures importées. Selon, lui, une commission sera mise en place pour prendre en charge cette question.
Rappelons que lors de sa visite en Algérie, le PDG de Renault avait indiqué à l’occasion d’une conférence de presse conjointe avec Chérif Rahmani, alors détenteur du portefeuille de l’Industrie, que le prix de la Symbole équivaudra dans un premier temps à celui des voitures de la même marque importées.
F.A
