Les liens entre l’Algérie et la France sont « particulièrement étroits »

Les liens entre l’Algérie et la France sont « particulièrement étroits »

Les liens entre l’Algérie et la France sont « particulièrement  étroits », a indiqué lundi à Alger, le directeur de l’Institut national français des hautes études de sécurité et de justice, Cyril Shott, soulignant que son institution accueillera cette année 9 auditeurs (élèves) algériens pour une formation.

« Aujourd’hui nos liens avec l’Algérie sont particulièrement étroits, d’ailleurs, cette année nous accueillons neuf auditeurs algériens sur les 170 auditeurs de nos trois sessions nationales et j’ai bien le sentiment que nous devons poursuivre dans cette voie », a-t-il dit.

M. Shott intervenait lors d’une rencontre organisée par la Direction générale de la sûreté nationale, à l’occasion d’un voyage d’étude en Algérie d’une délégation de l’Institut national français des hautes études de sécurité et de justice.

Il a ajouté que le déplacement de sa délégation en Algérie s’inscrivait dans le cadre des « liens étroits entre les deux nations », voulus par les présidents des deux pays.

Le responsable français a expliqué que les auditeurs (élèves) de son institut, outre d’assister à des conférence de haut niveau, réalisaient des mémoires sur des sujets concernant la sécurité des concitoyens notamment sur les questions de terrorisme et de radicalisation, de cambriolage et de cyber-terrorisme.

« Il y a également les évolutions de la justice, les procédures pénales et les gestions de crise qui intéressent nos auditeurs », a-t-il soutenu.

Pour M. Shott, le concept sécurité devrait être conçu de manière global, incluant notamment la sécurité publique, civile, environnemental et sanitaire, relevant dans ce sens que l’action de la police doit être associée à la recherche et à la formation.