Certains établissements hôteliers ont connu, récemment, de nouvelles nominations, à l’image de ceux de Sidi-Fredj, de Tipasa et de Zéralda pour ne citer que ceux-là. Des professionnels du secteur estiment que ces changements n’obéissent à aucune logique, à plus forte raison quand les profils des nouveaux responsables ne justifient pas leur affectation à de tels postes. Il se trouve que le Groupe tourisme, lui-même censé chapeauter ces établissements, se retrouve sans président (poste vacant) plongeant ainsi la gestion globale dans une anarchie sans précédent à tel point que certains responsables d’hôtels et directions du tourisme trouvent le moyen de prendre des vacances au moment même où la saison estivale bat son plein.
