En Algérie, une réforme fiscale impose désormais de payer par chèque pour les achats immobiliers de plus de 5 millions de dinars, soit 41 000 euros, ou les achats de véhicules pour une somme supérieure à 1 million de dinar, soit 8 300 euros.
Selon les autorités, plus de 35 milliards d’euros circuleraient dans le circuit informel et l’Etat entend essayer de les récupérer. Mais dans un pays où il n’y a pas de cartes bancaires et où tout se règle en liquide, la mesure est mal acceptée.
