À Tizi Ouzou, beaucoup d’enseignants, qui sont en grève, scolarisent leurs enfants dans des écoles privées. C’est certes un choix. Sauf que les parents estiment inconcevable d’observer un débrayage à l’école publique et continuer à donner des cours particuliers à 500 DA l’heure, voire davantage, les week-ends. La ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghabrit, qui a effectué, il y a quelques jours, une visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Tizi Ouzou, a-t-elle été édifiée sur ce phénomène ?
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