La vente d’insuline va monter en flèche et les pharmaciens de Sétif et Soustara se frottent déjà les mains en cachette. La boule d’angoisse va creuser les entrailles des supporteurs et des dirigeants de l’USMA et de l’ESS. Rares sont ceux qui arriveront à maîtriser leurs pulsions chauvines et plus rares encore sont ceux qui sauront rester dignes devant la complexité des enjeux. Je vise par là, droit dans les yeux, notre cher ami Serrar qui n’arrête pas de gesticuler comme à ses habitudes, dans l’espoir de déstabiliser Haddad et sa bande.
Toujours aussi insatiable, le «renard des coulisses» veut aussi gagner le championnat. A juste… titre ! C’est pour cela qu’il ne tient plus en place et fait tout pour perturber les Usmistes. Il faut dire que le néo politicien est encore bien chauffé par la campagne électorale qu’il a brillamment menée en parallèle. Certaines mauvaises langues susurrent même que c’est à cause de cela que l’Entente s’est effritée, après avoir mené largement le peloton de tête. N’empêche que le Serrar qui ne s’est jamais fait aussi rare que cette saison à cause de l’envie de Hammar de se faire voir à son tour au perchoir, refait surface aux premiers plans. Rusé comme il est, le «renard des coups lisses» sait que tout n’est pas lisse quand il veut rattraper un titre qui lui échappe. Sa dernière carte ? Le valet de pique. Un atout majeur qu’il a brandi à la face de tous les arbitres algériens qu’il qualifie indirectement de corrompus. Et il sait très bien pourquoi il dit cela ! Ainsi donc, le patriote nationaliste demande-t-il que le dernier match contre l’USMA soit dirigé par des…étrangers. Laissez-moi rire un peu, car demain, il sera le premier à hurler à l’APN que les compétences algériennes sont marginalisées. Je vous l’ai dit, c’est rare que Serrar se fasse rare pour rien…