Tous les partis sur le pied de guerre,mai..: Bouteflika dans l’arène politique : Seul contre tous

Tous les partis sur le pied de guerre,mai..: Bouteflika dans l’arène politique : Seul contre tous

Lorsque l’on veut affronter son adversaire, il faut de prime abord être son égal ou supérieur à lui. Cela veut dire qu’il faut être fort en tout et de l’avoir prouvé sur des faits concrets et plus précisément en politique car n’est pas politicien qui veut. Il faut tout d’abord avoir un grand palmarès, être intelligent, avoir un passé glorieux, des compétences, l’amour du pays et surtout être un meneur d’hommes comme l’a été le président de la République M. Abdelaziz Bouteflika qui durant toute sa vie l’a prouvé tout d’abord durant la révolution et même après l’indépendance du pays où il occupa le poste clé de ministre des affaires étrangères où il sauva l’Algérie à maintes reprises.

Par ailleurs, après une galère de 20 ans, il revient en force pour sauver son pays des guerres intestines qui ravageaient ce dernier et l’entrainaient vers le précipice. Alors à ce moment là, tel un De Gaulle algérien, il est venu au secours de son pays et ses frères avec au préalable un plan d’action pour tout d’abord réconcilier les frères ennemis qui s’égarèrent du droit chemin. Par ailleurs, il s’est fixé des objectifs et mis en place un programme de travail à long terme pour aussi redorer le blason de son pays qui était honni de tous et dont certaines puissances étrangères voulaient à tout prix profiter de la situation qui prévalait à cette époque pour entrainer l’Algérie vers un printemps arabe, mais c’était sans compter sur la prise de conscience de son nouveau président et surtout de son peuple qui relancèrent l’essor économique, politique et social du pays. Certes, la vérité est amère, mais la réalité est là devant nous concrète et très palpable que certains partis politiques algériens ne pouvaient accepter, bien qu’il faut le reconnaitre certaines carences administratives existent encore mais qu’avec une volonté politique, nous pourrons l’éradiquer. Cependant, quand le président Abdelaziz Bouteflika est tombé malade alors que tout être humain peut tomber malade car nul n’est infaillible, certains partis politiques ne pouvant le battre sur le terrain, voulaient profiter de cela avec l’aide de certaines puissances étrangères et en faire un appui juridique pour inverser les rôles prétextant qu’il ne pouvait plus gouverner, mais Dieu soit loué, il fut rétabli, car le corps est éphémère, par contre les idées restent et c’est avec cela qu’on vit. Nous prenons l’exemple de feu Nelson Mandela qui est mort, mais de par ses idées qui ont bouleversé le monde, il vit toujours. Par contre, ces partis politiques qui font plus de bruit qu’ils ne contribuent au développement du pays, ces opportunistes qui s’érigent en partis politiques mais qui n’ont pas l’étoffe du président ne se soucient que de leur propre personne et emploient tous les moyens pour accéder au pouvoir et s’enrichir au détriment du peuple pour lequel, ils ne se soucient guère. Il ya lieu de signaler qu’aucun de ces partis politiques n’est doté d’un programme ou d’une feuille de route clairs sur lesquels repose leurs mensonges et balivernes car on ne peut prétendre à la présidence sans qu’il n’y ait de garanties, sauf que tel un leitmotiv, le spectre de l’abstention plane à chaque évènement électoral créant un climat de tension et d’insécurité. Ce genre de situation perdure depuis plusieurs décennies et les partis politiques qui se sont multipliés et qui pour la plupart n’ont pas les compétences requises pour prétendre à un rôle actif dans la vie politique du pays dont le choix bien clair d’une politique ou d’un système politique n’est pas bien définit donc nous pouvons le qualifier de système politique hybride. C’est pour cela que certains partis politiques, pour ne pas dire la plupart n’apparaissent que lors des campagnes électorales pour des élections municipales, législatives ou présidentielles pour brader un autre mandat et bénéficier surtout de la belle cagnotte qui leur est offerte pour la fameuse campagne. Pour certains, l’intérêt du pays et du peuple algérien ne les intéresse guère, car pour eux c’est une belle aventure à tenter et profiter de l’aubaine qui s’offre à eux. Ce qui en découle de tout cela, c’est que le peuple s’étant habitué à ce genre de discours fleuve et de promesses non tenues ne croit plus en rien car tout d’abord, à titre d’exemple si vous mentez constamment à votre enfant en lui promettant certaines choses et que vous ne tenez pas votre parole il ne croira plus en vous à l’avenir. C’est le même cas car on peut tromper un homme un jour, on peut tromper un peuple quelques jours, mais on ne peut pas tromper un peuple toujours. Ce problème majeur qui ronge l’Etat, les partis politiques et le peuple algérien depuis l’indépendance n’est pas prêt de voir le bout du tunnel si une nouvelle politique en matière de culture électorale n’est pas mise en place. Car un peuple qui n’a pas de culture électorale bien ancrée dans son esprit comme cela se fait dans les démocraties occidentales à l’exemple des Etats- Unis d’Amérique, se retrouve dans l’embarras quand il est confronté lors des élections municipales, législatives ou présidentielles à faire le bon choix de ses élus car n’ayant pas été initié et éduqué dans ce domaine pour acquérir une culture électorale et ceci relève du rôle de l’Etat qui doit revoir le système du déroulement des élections et impliquer notre belle jeunesse dont est composé le peuple algérien pour lesquels la plupart des pays occidentaux nous envient et nous en veulent car ce problème se pose avec acuité chez eux. Malheureusement pour nous, nous ne savons pas profiter de cet atout en intégrant cette belle jeunesse qui est pleine d’énergie dans la vie politique du pays pour les amener à contribuer afin d’essayer de résoudre leurs problèmes car ils les vivent quotidiennement et donc seront d’un grand apport pour proposer des solutions adéquates dans le développement du pays. Si nos élus étaient sincères et avaient vraiment l’amour du pays, ils devraient se sacrifier corps et âme pour ce peuple qui a tout donné pour ce cher pays. Par contre le président de la république Abdelaziz Bouteflika essaye par tous les moyens pour impliquer notre jeunesse dans le monde politique afin qu’ils prennent les rênes du pouvoir, une chose qui n’est pas facile devant la réticence de certains politiques.



BENYAHIA EL HOUCINE