L’énigme qui planait autour de la disparition d’une étudiante universitaire, vient d’être élucidée en un temps record par les services de la police judiciaire relevant de la sureté de wilaya qui viennent d’arrêter les éléments de la bande qui étaient derrière le crime crapuleux perpétré à l’encontre d’une jeune universitaire âgée à peine de 20 ans.
En effet, et selon les premiers éléments de l’enquête, le crime serait passé inaperçu si ce n’est les dernières pluies qui ont déterré le corps de la jeune fille étudiante à l’université « Ibn-Khaldoun » de Tiaret et laquelle tenait une relation intime avec un élément de la bande composée de six personnes dont une infirmière, et une fois enceinte dans ses premiers mois, elle a été orientée vers une femme pour un éventuel avortement et malgré l’administration de plusieurs médicaments et autres procédés.
L’avortement n’a pas eu lieu et de peur de la propagation de l’information autour de ce cas et aussi la diffusion de l’information sur le réseau d’avortement, les éléments de la bande se sont entendus et un consentement a eu lieu sur l’assassinat de cette jeune fille de peur du scandale et sa diffusion et à ce titre, elle a été séquestrée.
Violemment torturée puis on a brûlé une grande partie de son corps pour effacer les traces avant de l’enterrer dans une fosse mitoyenne de la route d’Ain-Guesma, à la sortie sud de la ville de Tiaret, non loin du cimetière et le destin a voulu que les pluies torrentielles font découvrir aux passants le corps fortement défiguré de la jeune fille universitaire qui a été perdue de vue depuis plusieurs jours et lesquels citoyens ont informé les services de police judiciaire qui n’ont pas eu du fil à retordre et ont arrêté en un temps record les 6 éléments de la bande dont une femme de surcroît infirmière et l’on apprend de suite qu’un logement a servi à cette opération d’avortement…avortée par les services de la police judiciaire relevant de la sûreté de wilaya de Tiaret Le corps de la jeune fille a été transférée aux services de médecine légale suite à l’ordonnance du procureur de la république prés le tribunal de Tiaret.