Commentant l’appel lancé par Gaïd Salah en faveur de l’application de l’article 102 de la Constitution (vacance du poste de Président), l’ancien diplomate algérien, Abdelaziz Rahabi ne voit pas d’un bon œil cette option.
D’ailleurs, il a dit regretter que “Bouteflika ait choisi cette voie”, estimant que “l’application dudit article confisque la volonté populaire et ne présente aucune garantie de transition démocratique”.
– regrette que #président n’ait pas choisi une autre voie .
– recours à article 102 confisque volonté populaire et ne présente aucune garantie de transition démoc
– élections dans conditions actuelles ,aventure politique porteuse sérieuses menaces sur stabilité
— Abdelaziz Rahabi (@AbdelazizRahabi) 27 mars 2019