A. E. A.

Ce projet nécessité des études approfondies, afin d’éviter l’usage des eaux des oueds, même traitées.
Pour sa part le directeur des Services agricoles, Yassine Ghédiri, insistera sur l’insuffisance des ressources en eaux réservées à son secteur, pour booster la production. Le volume des retenues collinaires est très loin de répondre à la demande en la matière.
Le seul espoir demeure la coopération avec la direction des Ressources en eau pour le transport des eaux du barrage de Beni Haroun, mettant ainsi à disposition les volumes indispensables à la relance de la production.
Toutes les actions entreprises dans ce sens, actuellement, consistent, en réalité, en des bricolages de peu d’effet, tandis que la seule possibilité en mesure de pousser de l’avant et plus haut la production agricole, avec la qualité requise, reste ces apports des eaux de Beni Haroun.