Il était prévu qu’il rentre en stage avant-hier à 17h. Abdelmoumen Djabou, joueur de l’Entente de Sétif, n’a fait son apparition à l’hôtel Dar Diaf qu’après 21h.
Vahid Halilhodzic qui ne badine pas avec la discipline, notamment les horaires, a demandé des explications au joueur sur un ton très colérique. Les justifications fournies par Djabou auraient, selon une source sûre, calmé Coach Vahid.
Djabou à Monaco, c’est presque fait
Selon une source sûre, Djabou Abdelmoumen jouera à Monaco la saison prochaine.
Abdelmoumen Djabou s’est envolé en France juste après avoir reçu son Oscar Maracana. Durant son petit séjour, Djabou a négocié avec Monaco, et selon notre source, les deux parties se sont entendues sur tout. Djabou qui était courtisé par deux autres club en France aurait refusé de passer des tests à Montpellier. On rappelle que l’USMA avec une offre de 600 millions par mois a essayé d’attirer ce joueur, mais ce dernier, et sur conseil de Vahid, a choisi d’aller découvrir le haut niveau et jouer en Europe. Affaire à suivre.
A.B.
Il a finalement décidé de lâcher Bouazza et Guedioura
Vahid lâche du lest
Adlène Guedioura et Hameur Bouazza étaient soulagés et heureux quand Vahid Halilhodzic leur a annoncé qu’ils seront libérés à midi et qu’ils auront quartier libre jusqu’à lundi à midi. En stage bloqué depuis le 7 mai, ces deux joueurs avaient besoin de faire un break. Vahid souhaitait les voir rejoindre directement Sidi Moussa dimanche avant de décider de les libérer.
Les joueurs se sont plaints du parcours du footing
En plus des conditions d’hébergement difficiles (chambres exiguës, bruit et manque d’espaces verts), du rythme infernal imposé par le sélectionneur Vahid Halilhodzic, les joueurs se sont plaints de la piste de footing. En effet, pour les séances d’oxygénation, on a choisi la forêt de Bouchaoui. En plus du fait qu’elle soit sèche parce qu’il a fait très chaud cette semaine, accidentée et parsemée de cailloux, les joueurs de l’équipe nationale évoluaient sur une aire trop poussiéreuse du fait de la présence de poneys qui courraient dans tous les sens. «On respirait de la poussière pas de l’oxygène», dira un joueur.
A. B.