Essaïd Belkalem était tout heureux de jouer dans la Serie A, son championnat préféré, lui le grand admirateur de Paolo Maldini, mais voilà que son retard dans la préparation a fait qu’il a été prêté à Watford, club de Championship (deuxième division anglaise), pour y fourbir ses armes. Un fait important a, cependant, atténué sa déception : l’entraîneur de Watford, Gianfranco Zola, la appelé en personne pour lui exprimer son vœu de l’avoir dans son effectif et son intention de compter sur lui. Quand un entraneur appelle personnellement un joueur, c’est une marque de considération et de confiance. Lorsqu’on sait, en sus, que Zola est italien, cela réconforte Belkalem du moment qu’il «sentira» d’une certaine manière l’odeur de l’Italie.

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