Ayant raté le premier match sous l’ère Benchikha en raison d’une blessure, le stratège de l’EN, arrivé hier matin au Luxembourg, estime qu’il n’a pas besoin de discours particulier vu qu’il connaît bien la maison EN.
– Alors Karim, comment vous êtes physiquement ?
– Ça va El Hamdoulilah, je suis en bonne forme physique, de ce côté-là, pas de soucis.
– Content de retrouver l’EN après une éclipse…
– Ah oui ! Je suis heureux de retrouver la sélection, c’est toujours un plaisir pour moi d’honorer mes convocations, en plus des retrouvailles avec mes coéquipiers que je n’ai pas vus depuis un bon moment.
– Et puis, il y a de nouvelles têtes…
– C’est bien, cela prouve qu’il y a de plus en plus de joueurs algériens qui évoluent dans de bons clubs en Europe. On fera en sorte d’aider tous ceux qui sont venus, comme nous l’avons fait à chaque fois.
– Vous découvrez également un nouvel entraîneur (il n’était pas présent pour le match de la Centrafrique en raison d’une blessure, ndlr)…
– Mais non. Il n’y a rien de spécial, on est là pour représenter l’Algérie. Par conséquent, il n’y a pas de discours particulier à faire, chacun de nous connaît le travail qu’il doit faire en équipe nationale.
– Que vous inspire le Luxembourg dont on dit que c’est un adversaire à votre portée ?
– Nous l’avons dit souvent, il n’y a pas de petites équipes en football. Récemment, nous l’avons appris à nos dépens face à la Centrafrique. Il faut prendre tous les matches au sérieux et surtout regagner la confiance pour que le doute ne s’installe plus.
– Votre statut à Wolfsburg tarde à évoluer, des craintes ?
– J’espère Incha Allah retrouver vite ma place dans l’équipe type. En tout cas, je suis en train de trimer à l’entraînement afin d’atteindre rapidement cet objectif.
