C’est en leader serein et confiant que Karim Ziani aborde la deuxième et dernière phase de la période de préparation. Conscient du travail qui reste à faire, il n’en reste pas moins optimiste.
C’est en leader serein et confiant que Karim Ziani aborde la deuxième et dernière phase de la période de préparation. Conscient du travail qui reste à faire, il n’en reste pas moins optimiste.
Les deux jours de ressourcement en famille vous ont-ils fait plaisir ?
Oui, El Hamdoullah. C’est toujours bien de retrouver la famille et les siens. C’était seulement deux jours, mais ça m’a fait du bien.
Sentez-vous une plus grande motivation chez vos coéquipiers alors que vous êtes dans la dernière ligne droite de la préparation ?
On vient toujours d’arriver et de commencer, mais nous récupérons déjà tous nos blessés. Donc, ce sera meilleur de travailler ensemble. C’est maintenant que les choses sérieuses commencent véritablement.
Lundi, c’était quand même la première fois que vous vous retrouvez les 23 sur le terrain…
Oui, c’est très bien. Nous avons effectué une séance de décrassage après notre voyage. Tout le groupe était présent et c’est de bon augure pour la suite car, comme je l’ai déjà dit, c’est maintenant qu’on attaque le sérieux.
Malgré la défaite contre l’Irlande du Sud, les supporters ont acclamé les joueurs et les ont encouragés, comme cela a été le cas à votre arrivée à l’aéroport de Nuremberg. C’est réconfortant, n’est-ce pas ?
Oui. Il ne faut pas occulter que l’objectif dès le départ était d’être prêts pour le match contre la Slovénie. Lors du match contre l’Irlande, il y avait beaucoup de changements dans l’effectif puisqu’il y a de nouveaux joueurs qui sont arrivés.
Que l’on ne s’y trompe pas : nous sommes en pleine préparation. On ne juge pas une équipe sur un match de préparation. Laissez-nous le temps de travailler.
On sent une grande confiance parmi les joueurs, une sérénité qui fait croire que vous ne doutez pas du tout…
C’est parce que nous savons de quoi nous sommes capables. Nous sommes conscients du chemin qui nous reste à parcourir pour arriver au top. Il faut travaille et ça commence par la participation de l’ensemble de l’effectif.
Les deux premières semaines étaient particulièrement destinées à remettre tout le monde à niveau et à soigner les blessés. Maintenant que tout le monde est là et peut s’entraîner, ça va travailler encore plus dur et nous pourrons préparer nos matches de Coupe du monde de manière concrète.