Votre commentaire sur ce succès arraché contre la Roumanie, ce soir ?
Je dois dire qu’on a bien joué aujourd’hui. On a maîtrisé notre match. Il y a eu aussi pas mal de choses positives à retenir, surtout en seconde mi-temps où on est bien montés en puissance.
La préparation tire à sa fin et la compétition arrive à grands pas, quel bilan tirez-vous de ce stage ?
On a bien travaillé durant trois semaines. La première phase était consacrée au volet physique. Par la suite, nous avons entamé l’aspect tactique. Je pense qu’on est prêts pour cette Coupe du monde.
Que pensez-vous de ces deux matchs joués face à l’Arménie et la Roumanie ?
Ce fut deux bons tests, surtout que ça s’est ponctué par deux victoires. C’est bon pour le moral, on a gagné en confiance, il ne faut pas s’arrêter là. Il faut redescendre sur terre et travailler plus maintenant.
Comment avez-vous vécu ce feuilleton de votre blessure qui a failli vous rendre forfait pour le Mondial ?
J’ai entendu beaucoup de choses concernant cette blessure et je tiens à dire que ma blessure a été amplifiée. Ce n’était si grave que ça, on a trop exagéré. Le staff médical avait confiance et était rassuré, donc il n’y avait pas à trop s’inquiéter comme ça a été rapporté.
En 2010, vous étiez présent en Afrique du Sud, maintenant votre rôle sera grand dans l’encadrement de cette jeune équipe, c’est une responsabilité de plus sur vous…
Oui, c’est clair, on va entamer ce Mondial avec un état d’esprit excellent. Après, il n’y a pas uniquement moi dans ce rôle. On va tous essayer de tirer l’équipe vers le haut pour réaliser le meilleur parcours possible.
La Belgique sera votre premier adversaire en Coupe du monde ; vous y pensez déjà ?
Oui, et ça sera un match compliqué. On va encore se préparer et d’ici là, on espère être du rendez-vous pour ne pas rater notre sortie. On donnera le maximum pour honorer l’Algérie et surtout ne pas avoir de regrets.