Pour ce qui est des petits bobos dont souffrent certains de ses éléments, Wilmots indique que rien de grave n’est à signaler chez les Diables Rouges. «Les blessures causées par les duels sont fréquentes lors des matches de réplique où chaque joueur se donne à fond aux entraînements. Autrement dit, on se plaindra si ce n’est pas le cas. Sinon nous avons un bon personnel médical à notre disposition», affirme Wilmots avant d’enchaîner : «Hier, Origi a dû abandonner après un duel avec Dembel mais sans grande gravité. Ça aurait pu être pire selon mon diagnostic initial. Mais nous en saurons plus aujourd’hui ou demain. Mais je ne vais pas me plaindre chaque fois qu’il y a une blessure. Je ne veux pas devenir un pleurnichard.»
L’adaptation
«On est dans le rythme brésilien»
En ce qui concerne l’état psychologique et physique dans lequel se trouvent ses éléments, l’ex-joueur des Girondins de Bordeaux pense que ses joueurs commencent à s’habituer à l’ambiance brésilienne : «Maintenant, nous sommes tous dans le rythme brésilien. On n’éprouve aucun problème à s’adapter avec notre nouvel environnement. Quand j’ai vu ma formation s’entraîner tout à l’heure, mes inquiétudes se sont dissipées. J’ai dit ça va, nous sommes bons pour la compétition.»
Les supporters
«Ils sont fiers de leur équipe»
D’aucuns estiment que les Diables Rouges ont pu récupérer leur public grâce à leur qualification en Coupe du monde après 12 ans de disette : «J’ai remarqué qu’il y a beaucoup de supporters belges à Sao Paulo et nous avons reçu de nombreuses demandes pour assister à l’entraînement. Avec tout cet engouement, je sais ce que c’est que d’être en mesure de représenter votre pays à l’étranger.»
