Vols vers l’Algérie : l’IATA confirme la hausse des prix des billets

Vols vers l’Algérie : l’IATA confirme la hausse des prix des billets

Pendant la saison estivale, les tarifs des billets d’avions ont connu une certaine baisse de leur niveau. Ce qui a permis aux voyageurs, notamment la diaspora algérienne, de rejoindre le territoire nationale pour quelques jours durant les vacances d’été.

Cependant, depuis quelque temps, les compagnies aériennes se préparent pour une prochaine augmentation des tarifs des billets. À l’exemple, la compagnie low cost Transavia. En effet, selon son responsable commerciale, les prix des Transavia ont déjà augmenté de 15% par rapport à ceux pratiqués en 2019. Et ses prix devront poursuivre leur tendance haussière.

L’IATA confirme l’augmentation des prix des billets

Pour rappel, l’IATA, l’association du transport aérien international, a déjà livré ses prévisions concernant cette augmentation des prix. En effet, dans une déclaration dans l’émission « Sunday Morning », diffusée le mois de juillet dernier, son directeur général , en l’occurrence Willie Walsh, a fait savoir que le secteur aérien est confronté à une prochaine augmentation des prix billets. Cette dernière causée par le niveau des prix du pétrole, mais aussi de ceux du Kérosène. Qui est utilisé comme carburant pour les avions.

Cependant, lors d’une dernière intervention lors d’une conférence à Eurocontrol, le mardi 4 octobre dernier, Willie Walsh, a confirmé cette augmentation des prix. En effet, le directeur général de l’IATA, a affirmé que les prix des billets deviendront plus chers « sans aucun doute », rapporte le site spécialisé Simple Flying.

Pour rappel, l’IATA a fixé l’objectif, dans ses plans d’ici 2025, de réduire les émissions de CO2. Cependant, l’atteinte de ses objectifs, va certainement, selon le même responsable, se répercuter sur les tarifs des billets d’avion. Et c’est au consommateur final, notamment le voyageur. Que revient la responsabilité d’assumer les coûts des opérations à faible émission de carbone.

En effet, selon le directeur général de l’IATA. Il faudrait s’attendre à payer cher, le prix du passage à un transport aérien plus propre.