
«Il n’y a pas grands commentaires à faire à ce sujet. Il s’agit d’un problème entre M. Sawiris et le tribunal arbitral devant lequel il a introduit le recours. C’est au gouvernement algérien, éventuellement, de répondre. Je voudrais aussi être clair que, depuis avril 2012, Djezzy n’a plus rien à voir avec Orascom. J’ai lu aujourd’hui (dimanche dernier, ndlr) sur un site web que M. Sawiris cherche à monter quelque chose sur un vice de procédures. Je rappelle seulement qu’il a déjà été débouté sur cette affaire. Aussi, je voudrais dire ici que lorsque je suis venu en 2012, j’ai dit je suis ici, pas pour un arbitrage, mais pour faire de Djezzy une société normale. Nous avons largement réussi. Les résultats sont là pour le démontrer. C’est cela l’essentiel», nous a déclaré M. Nesci.
Pour rappel, en juin dernier, le tribunal avait rendu son verdict «décidant que les réclamations soulevées dans cet arbitrage sont irrecevables» et avait assigné Orascom TMT Investment à rembourser au gouvernement algérien «les montants qu’il avait déposés auprès du CIRDI pour les frais de l’arbitrage».