Pour le professeur en économie, Youcef Benabdallah, reçu ce jeudi, à l’émission L’Invité de la chaine 3 de la Radio Algérienne, « si l’on a peur », aujourd’hui, du lendemain, c’est parce que les moteurs impulsant cette croissance, sur la base d’une macroéconomie, ont été ignorés.