Il y a une année, le plan « B » de Rachid Nekkaz

Il y a une année, le plan « B » de Rachid Nekkaz

Il y’a de cela exactement un an ,Rachid Nekkaz sort son plan « B », en effet  pour contourner les règles électorales, le principal opposant à Bouteflika a présenté son cousin homonyme à l’élection présidentielle du 18 avril, pour être le directeur de sa campagne.

L’homme d’affaires Rachid Nekkaz a créé un imbroglio et monté un coup médiatique le 03 mars 2019 au Conseil constitutionnel en faisant enregistrer à sa place la candidature d’un « cousin homonyme », mécanicien. Candidat déclaré à la présidentielle du 18 avril en Algérie.

Le lendemain matin, le Rachid Nekkaz « officiel » s’est expliqué sur Facebook en affirmant s’être fait remplacer par son « cousin homonyme », après le refus du Conseil constitutionnel d’accepter son propre dossier de candidature, « Suite au refus du Conseil constitutionnel d’accepter mon dossier, j’ai été obligé de sortir mon plan B afin de rester dans le jeu et de maintenir la pression. »

Rachid Nekkaz, initialement franco-algérien, semble inéligible, la loi prévoyant notamment qu’un candidat ne doit jamais « avoir possédé une autre nationalité » qu’algérienne, « si mon cousin est élu, on créera immédiatement le poste de vice-président que j’occuperai », précise Rachid Nekkaz, « le président-élu (mon cousin) démissionnera aussitôt » et « je prendrai alors automatiquement le poste de président. »