On apprend que les caisses du club seront bientôt renflouées par l’arrivée de subventions étatiques, dont le montant est de 8 milliards de centimes.
La direction du club attend également une autre tranche de la subvention des sponsors, le mois prochain. Même si pour l’instant les comptes sont toujours au niveau zéro, les responsables de l’USMH ne s’inquiètent pas pour autant. Selon un dirigeant, une grande partie des subventions et l’argent des différents sponsors alimenteront les caisses d’ici à la fin du championnat. Selon nos sources, le montant total des subventions et des sponsors attendus d’ici à la fin de saison atteindra les 9 milliards de centimes. Selon un membre actionnaire influent, on annonce pompeusement l’arrivée d’un gros sponsor et que l’USMH ne serait plus confrontée à cet épineux problème financier : «L’USMH, désormais, sera dans une autre dimension, il y a un gros sponsor avec lequel on est en négociations et dont l’apport financier tourne autour des 16 milliards. Cette somme contribuera non seulement à couvrir les besoins de l’équipe, mais elle permettra également au club de franchir un autre palier.»
«Au mois de mars, plus aucun joueur ne parlera d’argent»
Rassurée par les autorités ministérielles qui promettent des aides financières pour les clubs ayant des difficultés, conformément à la nouvelle loi sur le sport, la nouvelle direction de l’USMH a tenu à rassurer tous les joueurs quand à leur dû. «On attend l’arrivée d’une grosse somme d’argent émanant des autorités ministérielles, à leur le Chef de gouvernement. Cette manne financière nous permettra de régulariser tous les joueurs qui percevront leur argent jusqu’au dernier centime. Cela devrait se faire d’ici au mois de mars. Dès lors, plus aucun joueur ne parlera d’argent. C’est une promesse que nous leur faisons», nous a déclaré un des membres du conseil d’administration de la SPA/USMH.
«On est prêt à proposer un contrat de dix ans à Charef»
Concernant Charef, il semble que celui-ci jouit d’une confiance aveugle des actuels actionnaires. Du moins, c’est ce que l’on peut déduire de la déclaration de ce membre du conseil d’administration : «Pour nous, Charef est plus qu’un entraîneur. On le considère comme une partie intégrante de notre organigramme. Frâce à ses bilans largement positifs, ses efforts, ses sacrifices, il jouit d’une grande confiance que lui témoignent tous les Harrachis. D’ailleurs, nous sommes prêt à lui proposer un contrat de dix ans s’il le désire.»
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Le directoire, une option contraire aux textes
Pourquoi pas un administrateur pour gérer
la transition ?
A El Harrach, beaucoup se sont interrogés sur cette idée de directoire prise par les membres actionnaires. Selon les textes du ministère du Commerce on append que la mise en place d’un directoire est une option légale autant que celle d’un conseil d’administration. Pour la SPA/USMH, cette société de football fonctionne sous forme d’un conseil d’administration dont le président est Laïb. En cas d’empêchement temporaire, de décès, de démission ou de révocation du président, le conseil d’administration peut déléguer un administrateur dans les fonctions de président dans les cas suivants :
1. En cas d’empêchement temporaire, la délégation est de durée limitée, elle est renouvelable.
2. En cas de démission, décès, révocation, elle est reconnue jusqu’à l’élection du nouveau président sur proposition du président, le conseil d’administration peut donner à une personne physique, mandat d’assister le président, à titre de directeurs généraux. ceux-ci sont révocables par le conseil d’administration à tout moment, sur proposition du président. Les directeurs généraux disposent des mêmes pouvoirs que le président. Comme on peut le constater, la situation actuelle de l’USMH se trouve dans ce cas précis. Dans l’option du choix d’un administrateur, ç’aurait été celle qui répond aux textes. Ils sont cinq à composer le conseil d’administration. A savoir Laïb, Bensemra, Mana, Aziz Nessas et Khireness Aïssa Boulabe. Règlementairement, c’est l’un de ces trois administrateurs qui devrait être choisi pour gérer la transition. Cela étant clair, par conséquent, on peut dire que la SPA/USMH et le directoire installé fonctionnent donc dans l’illégalité. Mais pour mieux éclairer nos lecteurs, il faut définir les prérogatives des actionnaires et des membres du directoire, conformément aux textes. Dans le cas où la SPA est dirigée par un directoire (ce qui n’est pas le cas pour l’USMH), celui-ci serait composée de trois (03) à cinq (05) membres qui exercent ses fonctions sous le contrôle d’un conseil de surveillance. Les membres du directoire sont révocables à tout moment par l’assemblée générale sur proposition du conseil de surveillance. Le directoire délibère et prend ses décisions dans les conditions fixées par le statut. La fonction de président de directoire ne donne pas à son titulaire un pouvoir de direction plus étendu que celui des autres membres du directoire.
Les actionnaires proposent à Allik le poste de directeur général
Une source très au fait des affaires de l’USMH nous apprend que le nouveau directoire, sitôt installé, a pris attache avec Dahmani la Belle et Saïd Allik, pour les inviter à se rapprocher de la nouvelle direction et lui proposer le poste de directeur général. Pour une grande majorité des Harrachis, Allik serait le candidat le mieux désigné alors pour devenir le nouveau manager général, un érudit en la matière rompu à la gestion puisqu’il a dirigé avec réussite le club de Soustara. Il présente, assurément, toutes les qualités pour occuper ce poste de manager ou de directeur général, d’autant qu’il est toujours au fait de l’actualité du football algérien. A moins que le concerné refuse cette proposition. Sera-t-il alors l’homme que recherchent les dirigeants pour mettre définitivement sur orbite la machine harrachie ? On le saura très certainement dans les jours qui viennent.
«Je viendrai avec Dahmani et Lefki, sinon… »
Selon une source proche de la direction, on apprend que Bouslimani a eu un entretien téléphonique avec Allik pour lui proposer le poste de directeur général. Mais il semble que l’ex- président de l’USMA ne semble pas prêt à venir seul. «Je viendrai avec Dahmani et Lefki.» C’était la réponse de Allik à Bouslimani. En fait, ce trio a un projet de cinq ans qu’il veut réaliser. Allik ne pourrait donc venir seul, comme le souhaitent les actionnaires.
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Contacté par le MCO, Mebarki a failli quitter le stage hier
Mebarki était dans tous ses états, hier après-midi. Alors que des dirigeants lui avaient promis de percevoir son chèque hier et de signer rapidement son contrat, finalement cela ne s’est pas fait. Etant en contact avec le MCO, Mebarki, qui était attendu dans la soirée par les responsables du Mouloudia d’Oran, a failli quitter le stage pour prendre la route de la capitale de l’Ouest.
Charef le rassure
Alors qu’il était sur le point de partir, il a préféré, par correction, aviser Charef pour lui faire part de sa décision de quitter le stage pour signer au MCO. Le coach harrachi a usé de toute sa diplomatie pour convaincre Mebarki de patienter encore 24 heures. L’entraîneur de l’USMH a promis au joueur d’intervenir personnellement auprès des dirigeants pour préparer le chèque et le contrat.
Il doit signer aujourd’hui
Selon une source proche de l’administration de l’USMH, on apprend que le chèque du joueur ainsi que le contrat sont prêts. Le secrétaire du club devrait se déplacer ce matin à Tipasa, pour concrétiser le recrutement de Mebarki à l’USMH.
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Charef revient au biquotidien
L’entraîneur de l’USMH veut profiter pleinement des jours du stage à Tipasa, afin de gommer le maximum de carences et avoir sous la main une équipe fin prête pour la reprise de la compétition,- prévue le 18 janvier prochain face à la JSS. En effet, après avoir baissé la charge durant la journée d’hier, pour permettre aux joueurs de récupérer un peu, Hendou et ses camarades seront à nouveau soumis à du biquotidien aujourd’hui avec deux séances prévues au nouveau complexe sportif de Tipasa. La première sera basée sur le volet technico-tactique, alors que la seconde est réservée au volet physique. Le coach augmentera la charge de travail.
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Abid «Je veux réussir une meilleure phase retour»
Abid, le jeune attaquant harrachi, semble avoir retrouvé sa forme ces dernières semaines. En stage avec le groupe, il répond parfaitement au travail imposé par le coach. Approché après la fin de la séance d’entrainement, il nous dira : «En effet, je me sens bien, tant physiquement que techniquement. Je sens que je progresse. D’ailleurs, je suis décidé à faire de mon mieux. Je n’ai que 22 ans et j’espère que cette phase retour sera pour moi le début d’une grande carrière. Je suis jeune et j’ambitionne d’atteindre un plus haut niveau. Il est vrai que la concurrence sera très rude avec la présence d’attaquants confirmés, mais cela ne m’a jamais fait peur. Au contraire, disposer de bons attaquants ne fera que du bien à l’équipe. En tout cas, je suis prêt à jouer et à me battre pour mériter une place de titulaire. Le coach saura faire jouer les plus méritants.»
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Fin de stage pour Medane et Kenniche
Medane et Kenniche, les deux jeunes Espoirs, ont mis fin prématurément au stage auquel il participait avec leurs camarades. Pas encore rétablis de leur blessure, Charef a préféré les mettre au repos pour leur éviter tout risque de rechute. Ils viennent d’ailleurs de quitter l’hôtel pour rentrer chez eux.
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Charef revient au biquotidien Amer Yahia se blesse
En stage à Tipasa avec le groupe, Amer Yahia a contracté une légère blessure à un genou, lors du match amical disputé mardi dernier contre l’O Médéa. Depuis, les douleurs n’ont pas cessé. D’ailleurs, il ne peut plus s’entraîner. Charef a décidé de le mettre à la disposition du staff médical.
