USMAn-ESM : Yazid : «L’accession reste notre priorité»

USMAn-ESM : Yazid   : «L’accession reste notre priorité»

Le milieu de terrain de l’Espérance, Yazid Sofiane, revient dans cet entretien sur le match face au RC Arbâa et pense que son équipe est en mesure de terminer le championnat en Ligue 1.

Est-ce que vous êtes au top niveau ?

Je me sens en super forme, tout le monde est au beau fixe et je pense en particulier à ce rendez-vous face à Annaba.

Comment se présente la rencontre face à Annaba ?

L’USM Annaba est équipe qui lutte pour son maintien, et nous sommes tous derrière elle pour aller au bout. Concernant le match, ce sera un bon test face à une équipe d’Annaba, où tout le monde s’attend à ce que l’équipe confirme sa lancée et aligne un autre succès.

L’accession est-elle votre unique priorité ?

Le retour de l’équipe parmi l’élite est notre priorité. Décrocher le maximum de bons résultats dans cette échéance nous motivera encore davantage. Nous ferons donc notre possible pour aller le plus loin possible dans cette compétition.

Vous allez affronter l’équipe d’Annaba, vous ne risquez pas gros, non ?

En déplacement, on est obligés de gagner. Et contre l’USM Annaba, nous allons tout faire. Primo, pour confirmer notre bonne santé ; secundo, s’accrocher à la tête du peloton.

Justement, qu’avez-vous à dire à vos fans ?

Qu’ils viennent en masse nous encourager contre l’USM Annaba, nous leur promettons de tout faire pour les rendre heureux ce samedi.

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Demeurer sur le podium est impératif

En football comme dans d’autres domaines, il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions, car il faut être capable de convaincre et vite. C’est le cas de l’Esperance de Mostaganem qui a fini par séduire avec l’aide d’un public fidèle et passionné, certainement l’un des meilleurs d’Algérie, mais trop exigeant aussi. El Haouata donc a de la chance de pouvoir compter sur des supporters qui sont restés fidèles, en dépit de la douloureuse contre-performance du club. Aujourd’hui, avec le travail, l’abnégation et de la patience, les Espérantistes se sont replacés pour rejoindre une élite qu’ils n’auraient jamais dû quitter si l’éthique sportive avait été respectée. On dit que les grandes équipes ne meurent jamais, et l’Esperance est en train de confirmer cette thèse et ce, malgré un mauvais début de saison.

Foughloul : « Une défaite pourrait avoir des conséquences néfastes»

«C’est vrai, c’est un match difficile. Aussi, il existe une grande motivation chez l’ensemble des joueurs. Nous devons impérativement réaliser une belle performance, et cela pour confirmer notre bonne santé. Ce match se déroule en déplacement, et une défaite pourrait avoir des conséquences sur le plan moral. Ce sera difficile, mais nos supporters seront là pour nous soutenir.»

Zerrouki satisfait du parcours d’El Haouata

«Je ne vous cache pas que je suis très satisfait du parcours de mon équipe, mais l’objectif assigné est peut-être atteint. Donc, je demande aux joueurs de persévérer dans l’effort et d’éviter tout excès de confiance. Pour moi, c’est une revanche envers nos détracteurs qui ont mis en doute nos capacités. Effectivement, j’affirme qu’El Haouata gagne ses matchs sur le terrain et nulle part ailleurs. Ceci dit, je remercie tous les personnes qui sont venues nous aider et donner assistance à notre club d’El Terradji El Moustaghanemi. A présent, il reste à souhaiter que tout le monde reste sur cette même dynamique, car l’accession est l’affaire de tout Mostaganémois», soulignera Zerrouki et d’ajouter : «C’est aux camarades de Belgherbi de confirmer désormais leur retour en force, ce samedi, face à un gros morceau, l’USM Annaba en l’occurrence. A présent, il faut rester concentré pour continuer sur cette dynamique. Nous sommes investis d’une lourde responsabilité, ceci dit, on est obligés de ne céder aucun point à domicile et de tenter de ramener une ou deux victoires de l’extérieur pour se mettre définitivement à l’abri. Les insuffisances, il y en aura tous les jours et même chez les meilleures équipes du monde. L’Espérance de Mostaganem ne devrait pas être une exception et seul le travail paie pour y remédier.»