La directrice du logement et des équipements publics qui a été l’invitée du forum de la presse au début de la semaine en cours a fait allusion à une régénération inquiétante des eaux de la nappe dans le terrain sur lequel est bâti ce groupement de la communauté universitaire.
Bien que l’approche de la directrice de la DLEP ne soit pas alarmiste, l’inquiétude est bien présente du moment où il est question d’une expertise géologique afin de déterminer l’origine de cette régénération de la flotte qui pour le moment selon l’oratrice ne présente aucun danger sur les infrastructures. Au moment du lancement du projet de ce pôle universitaire, il y a une dizaine d’années on avait évoqué la nature argileuse du sol lors de l’opération des fouilles et une solution avait été préconisée à l’époque. Maintenant qu’il est question de la flotte, a-t-on préconisé des solutions, pourtant avec le développement technique dans le domaine du bâtiment en a largement dépassé cette contrainte. A noter que cette problématique pour les professionnels du bâtiment ne date pas d’aujourd’hui. Dans plusieurs endroits du bassin de la Mékkera, il suffit de forer quelques mètres pour atteindre la nappe phréatique.
D. M