Union Européenne : le nouveau système d’information Schengen entre en service

Union Européenne : le nouveau système d’information Schengen entre en service

La Commission Européenne a annoncé via un communiqué que le nouveau système d’information Schengen est rentré en service. La commission indique qu’il s’agit du plus grand système de partage de données pour la sécurité et la gestion des frontières en Europe.

Ce système est apte à gérer et partager diverses informations et ainsi garantir la sécurité des frontières. Il prend en considération les échanges de renseignements sur les personnes recherchées ou bien disparues entre les pays membres de l’UE.

| À LIRE AUSSI : Falsification des dossiers de visas : un réseau démantelé à Alger

En plus de traiter les bulletins liés aux ressortissants de pays tiers qui n’ont pas le droit légal de séjourner dans l’Union, le SIS se penche aussi sur les éléments introuvables a l’heure actuelle.

Ainsi, les objets perdus ou volés, comme les voitures, les armes à feu et les documents d’identité seront détectés. Des outils plus poussés de lutte contre la criminalité et le terrorisme sont aussi présent dans cette nouvelle version du système.

Enfin, la mise à jour faite le 7 mars 2023, permet le renforcement de l’échange d’informations et de la coopération entre les nations européennes.

Deux pays de l’espace Schengen mettent un terme aux golden visas

L’Irlande accompagnée du Portugal, ont annoncé mettre un terme à la Golden visa. Le visa d’or est un visa de résidence visant les étrangers non européens pour attirer les capitaux étrangers dans un pays. Ce programme est l’un des plus recherchés sur les moteurs de recherche.

António Costa, le premier ministre portugais, avait annoncé la fin de ce visa qui donne un titre de séjour de cinq ans pour chaque personne en échange de l’achat d’un bien immobilier ou d’autres investissements.

| À LIRE AUSSI : 19 300 Algériens ont obtenu la nationalité d’un pays de l’UE en 2021

En plus des deux pays cités en haut, en Espagne, un parti politique a déposé une proposition de loi pour arrêter l’attribution de ces visas. L’Espagne avait lancé son programme de résidence par investissement en 2013. Les personnes doivent investir 500 000 € dans l’immobilier pour obtenir le « visa doré »