La nouvelle tarification de l’huile et du sucre est appliquée par les commerçants de la capitale. Les prix ont été revus à la baisse mais restent toujours élevés du point de vue des consommateurs.
La nouvelle tarification de l’huile et du sucre est appliquée par les commerçants de la capitale. Les prix ont été revus à la baisse mais restent toujours élevés du point de vue des consommateurs.
Ces derniers jours, a-t-on appris, les brigades de contrôle et de suivi de l‘application des nouveaux prix ont effectué des rondes de vérification auprès de certains commerçants. «J‘ai reçu la visite des contrôleurs il y a quelques jours», a indiqué un commerçant à la rue Réda- Houhou, dans la localité d‘Alger- Centre. Durant leur visite, nous a-t-il expliqué, ils se sont contentés de vérifier si les prix des produits subventionnés ont été baissés. Et d‘ajouter «ils m‘ont expliqué qu‘il y aura encore une baisse de certains produits prochainement, mais j‘en doute».
En effet, le fait est que les commerçants semblent sceptiques quant aux promesses des autorités de revoir encore à la baisse les prix de l‘huile et du sucre. Sur les étals des épiceries, l‘huile de table est exposé au prix de 130 dinars le litre, tandis que le sucre, lui, est cédé pour 85 dinars. Les consommateurs sont loin d‘afficher leurs contentement et satisfaction face à ces prix. «C‘est vrai que l‘Etat a promis de baisser les prix, mais ils restent toujours élevés», s‘en est plaint un consommateur. Sur les marchés algérois, les prix des fruits et légumes ne semblent pas partis pour baisser de sitôt. Pour les légumes, la pomme de terre et l‘oignon se partagent le prix étalé de 40 dinars le kilogramme. La salade, elle, campe sur son prix de la semaine dernière, à savoir 100 dinars le kilo. Idem pour la tomate qui est au même prix. Ce n‘est pas parti pour faire une bonne salade en tout cas, à en juger par le coût de ces deux légumes. Pour leur part, le piment et le poivron sont cédés pour 140 dinars. Les amateurs de carottes ne seront pas comblés, à voir son prix qui stagne à 50 dinars le kilogramme. S‘agissant des fruits, la banane reste au prix élevé de 160 dinars, tandis que l‘orange oscille entre 85 et 100 dinars le kilo. La pomme, quant à elle, est laissée pour 120 dinars. La volaille a vu son prix augmenter considérablement. Alors qu‘il était de 280 dinars le kilo, la semaine dernière, cette semaine, le prix du poulet est passé à 320 dinars. Les commerçants expliquent cette hausse par l‘indisponibilité du produit chez les fournisseurs. A l‘est du pays, à Constantine, selon les responsables de la Direction du contrôle des prix (DCP), la nouvelle tarification de l‘huile et du sucre a été suivie à 100% par les grossistes de la wilaya de Constantine et à plus de 95% par les détaillants. Les rares commerçants qui rechignent à appliquer la nouvelle tarification de l‘huile et du sucre, sous prétexte qu‘ils n‘ont pas encore écoulé leurs anciens stocks, «risquent de voir leur marchandise «dépérir» sans être vendue», a soutenu la DCP. Le prix de ces deux produits alimentaires, largement disponibles sur le marché local, est «connu de tous les citoyens, ce qui rend impossible toute tentative de les écouler à un prix dépassant le plafond annoncé par le gouvernement», a fait savoir le chef de service de la qualité à la DCP. «Les commerçants récalcitrants, activant principalement dans les cités populaires, finiront par faire des concessions en vendant ces deux produits alimentaires selon la tarification fixée par les autorités publiques», a souligné le même responsable. Hormis quelques commerçants qui continuent de proposer la bonbonne d‘huile de table de 5 litres et le kilogramme de sucre à des prix dépassant, respectivement, 600 et 90 DA, la majorité des magasins de Constantine respectent la tarification fixée par l‘Etat en vue de juguler la hausse subite des prix dans plusieurs quartiers de la ville.
Ces derniers jours, a-t-on appris, les brigades de contrôle et de suivi de l‘application des nouveaux prix ont effectué des rondes de vérification auprès de certains commerçants. «J‘ai reçu la visite des contrôleurs il y a quelques jours», a indiqué un commerçant à la rue Réda- Houhou, dans la localité d‘Alger- Centre. Durant leur visite, nous a-t-il expliqué, ils se sont contentés de vérifier si les prix des produits subventionnés ont été baissés. Et d‘ajouter «ils m‘ont expliqué qu‘il y aura encore une baisse de certains produits prochainement, mais j‘en doute». En effet, le fait est que les commerçants semblent sceptiques quant aux promesses des autorités de revoir encore à la baisse les prix de l‘huile et du sucre. Sur les étals des épiceries, l‘huile de table est exposé au prix de 130 dinars le litre, tandis que le sucre, lui, est cédé pour 85 dinars. Les consommateurs sont loin d‘afficher leurs contentement et satisfaction face à ces prix. «C‘est vrai que l‘Etat a promis de baisser les prix, mais ils restent toujours élevés», s‘en est plaint un consommateur. Sur les marchés algérois, les prix des fruits et légumes ne semblent pas partis pour baisser de sitôt. Pour les légumes, la pomme de terre et l‘oignon se partagent le prix étalé de 40 dinars le kilogramme. La salade, elle, campe sur son prix de la semaine dernière, à savoir 100 dinars le kilo. Idem pour la tomate qui est au même prix. Ce n‘est pas parti pour faire une bonne salade en tout cas, à en juger par le coût de ces deux légumes. Pour leur part, le piment et le poivron sont cédés pour 140 dinars. Les amateurs de carottes ne seront pas comblés, à voir son prix qui stagne à 50 dinars le kilogramme. S‘agissant des fruits, la banane reste au prix élevé de 160 dinars, tandis que l‘orange oscille entre 85 et 100 dinars le kilo. La pomme, quant à elle, est laissée pour 120 dinars. La volaille a vu son prix augmenter considérablement. Alors qu‘il était de 280 dinars le kilo, la semaine dernière, cette semaine, le prix du poulet est passé à 320 dinars. Les commerçants expliquent cette hausse par l‘indisponibilité du produit chez les fournisseurs. A l‘est du pays, à Constantine, selon les responsables de la Direction du contrôle des prix (DCP), la nouvelle tarification de l‘huile et du sucre a été suivie à 100% par les grossistes de la wilaya de Constantine et à plus de 95% par les détaillants. Les rares commerçants qui rechignent à appliquer la nouvelle tarification de l‘huile et du sucre, sous prétexte qu‘ils n‘ont pas encore écoulé leurs anciens stocks, «risquent de voir leur marchandise «dépérir» sans être vendue», a soutenu la DCP. Le prix de ces deux produits alimentaires, largement disponibles sur le marché local, est «connu de tous les citoyens, ce qui rend impossible toute tentative de les écouler à un prix dépassant le plafond annoncé par le gouvernement», a fait savoir le chef de service de la qualité à la DCP. «Les commerçants récalcitrants, activant principalement dans les cités populaires, finiront par faire des concessions en vendant ces deux produits alimentaires selon la tarification fixée par les autorités publiques», a souligné le même responsable. Hormis quelques commerçants qui continuent de proposer la bonbonne d‘huile de table de 5 litres et le kilogramme de sucre à des prix dépassant, respectivement, 600 et 90 DA, la majorité des magasins de Constantine respectent la tarification fixée par l‘Etat en vue de juguler la hausse subite des prix dans plusieurs quartiers de la ville.