La Journée de l’Europe, célébrée par les vingt-huit Etats de l’Union européenne, sera marquée aujourd’hui, lundi 9 mai, à Alger, par l’inauguration de la 17e édition du Festival culturel européen à laquelle participent aussi des artistes algériens et africains.
Pour lancer la nouvelle édition du Festival culturel en Algérie, la Délégation européenne a fixé le rendez-vous à 18h, à la salle Ibn Zeydoun, à Alger.
Cette première soirée sera animée par le blues de Bombino, alias Omara Moctar, ce Targui de la tribu des Ifoghas établie au Niger, cet innovateur du style tuareggae, c’est-à-dire une fusion entre le blues des Touaregs, le rock et le reggae one-drop et de rebond.
Un tel choix dans la programmation du festival relève de la volonté de promouvoir le dialogue interculturel euro-africain, de favoriser les échanges entre artistes et intellectuels des deux rives de la Méditerranée dans une vision inter-régionale intégrée. Aussi, ce festival sera également ouvert au débat, lors de la conférence Un rêve d’intégration : Et la culture ? (le 12 mai à l’Institut français d’Alger).
Dans son discours inaugural, l’ambassadeur et chef de la Délégation européenne en Algérie, Marek Skolil, a affirmé que « cette édition est celle de la maturité et de la continuité. Nous sommes heureux de cette décentralisation géographique des spectacles ».
Initiée sous la bannière « Les couleurs de l’Europe », la diversité sera, treize jours durant, appréciée dans la capitale mais aussi à Tizi Ouzou, Béjaïa, Oran et Annaba.
Ce festival se déroule simultanément dans plusieurs villes d’Algérie pour la sixième année consécutive, les premières éditions étant limitées au département algérois.
Le concept d’une telle manifestation reste inchangé, même s’il y a un élargissement inhérent à des disciplines, autres que la musique, le cinéma, le théâtre et la photographie. L’une des actions réside dans la promotion de la littérature et du livre.
Dans ce sens, des lectures (à haute voix) d’avant-spectacle seront assurées par un collectif. Les artistes algériens, eux, se produiront dans trois concerts.
D’abord, le violoniste Kheireddine M’Kachiche, le pianiste Azzedine Kendour, le batteur Nazim Ziad proposeront avec le saxophoniste et flûtiste belge Manuel Hermia un répertoire de free-jazz aux couleurs du Maghreb et de l’Orient (le 17 mai à Ibn Khaldoun).
Ensuite, la chanteuse ethno-pop Amel Zen qui, après une résidence d’échange musical avec ses pairs d’Autriche, sera sur la scène algéroise du Musée des arts modernes, l’avant-dernière soirée du festival.
Elle sera également l’invitée (le 16 mai à Ibn Zeydoun) de la trompettiste Yazz Ahmed (originaire de Bahrein) pour quelques compositions de jazz. Mohamed RedianePour lancer la nouvelle édition du Festival culturel en Algérie, la Délégation européenne a fixé le rendez-vous à 18h, à la salle Ibn Zeydoun, à Alger.
Cette première soirée sera animée par le blues de Bombino, alias Omara Moctar, ce Targui de la tribu des Ifoghas établie au Niger, cet innovateur du style tuareggae, c’est-à-dire une fusion entre le blues des Touaregs, le rock et le reggae one-drop et de rebond.
Un tel choix dans la programmation du festival relève de la volonté de promouvoir le dialogue interculturel euro-africain, de favoriser les échanges entre artistes et intellectuels des deux rives de la Méditerranée dans une vision inter-régionale intégrée. Aussi, ce festival sera également ouvert au débat, lors de la conférence Un rêve d’intégration : Et la culture ? (le 12 mai à l’Institut français d’Alger).
Dans son discours inaugural, l’ambassadeur et chef de la Délégation européenne en Algérie, Marek Skolil, a affirmé que « cette édition est celle de la maturité et de la continuité. Nous sommes heureux de cette décentralisation géographique des spectacles ». Initiée sous la bannière « Les couleurs de l’Europe », la diversité sera, treize jours durant, appréciée dans la capitale mais aussi à Tizi Ouzou, Béjaïa, Oran et Annaba.
Ce festival se déroule simultanément dans plusieurs villes d’Algérie pour la sixième année consécutive, les premières éditions étant limitées au département algérois.
Le concept d’une telle manifestation reste inchangé, même s’il y a un élargissement inhérent à des disciplines, autres que la musique, le cinéma, le théâtre et la photographie.
L’une des actions réside dans la promotion de la littérature et du livre. Dans ce sens, des lectures (à haute voix) d’avant-spectacle seront assurées par un collectif. Les artistes algériens, eux, se produiront dans trois concerts.
D’abord, le violoniste Kheireddine M’Kachiche, le pianiste Azzedine Kendour, le batteur Nazim Ziad proposeront avec le saxophoniste et flûtiste belge Manuel Hermia un répertoire de free-jazz aux couleurs du Maghreb et de l’Orient (le 17 mai à Ibn Khaldoun).
Ensuite, la chanteuse ethno-pop Amel Zen qui, après une résidence d’échange musical avec ses pairs d’Autriche, sera sur la scène algéroise du Musée des arts modernes, l’avant-dernière soirée du festival. Elle sera également l’invitée (le 16 mai à Ibn Zeydoun) de la trompettiste Yazz Ahmed (originaire de Bahrein) pour quelques compositions de jazz.