Un enseignant chercheur à l’université d’Alger, Achour Fenni en l’occurrence, a rapporté, hier au Forum du journal El-Wassat consacré au devenir de la presse écrite, que les étudiants en sciences de l’information et de la communication semblent ne plus s’intéresser du tout à la presse écrite, qu’ils choisissent, en spécialité, par défaut. “J’ai remarqué, ces dernières années, que sur des promotions de 1500 à 1700 étudiants, la grande majorité préfère aller à la spécialité afférente à la communication, car ils savent qu’ils trouveront davantage de débouchés dans les entreprises. Le reste opte pour l’audiovisuel et très peu choisissent la presse écrite.” Il est vrai que les temps sont de plus en plus difficiles pour les journaux version papier.

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