L’instruction en cours dans l’affaire « Sonatrach 1 » a révélé la présence d’un « véritable réseau international de corruption dont les ramifications s’étendent à tous les continents », a déclaré mardi le ministre de la Justice garde des Sceaux, Mohamed Charfi.
Intervenant devant les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) à l’issue de l’adoption du projet de loi organisant la profession d’avocat, le ministre a indiqué que l’instruction a révélé la présence d’un réseau international qui couvre tous les continents et dont le but « est d’absorber la substance de la Sonatrach à travers des mécanismes financiers complexes visant à couvrir les crimes commis ».