Merah parlant à « B » : je prévoyais de te tuer Des informations obtenues par El Khabar de sources concordantes dans l’affaire Mohamed Merah indiquent l’existence d’un lien entre lui et un élément actif de la direction centrale du renseignement intérieur connue sous le nom de la « DCRI », service crée en juillet 2008 et dont les prérogatives égalent celles du service américain le « FBI ».
Selon les informations d’El Khabar l’élément actif « B » est un français d’origine maghrébine était en contact avec le jeune Mohamed Merah, et était entré en contact avec lui pour la dernière fois lorsqu’il était encerclé dans son appartement du quartier de « cote pavé » à Toulouse, et que l’unité d’élite française le « Raid » avait appelé l’élément des renseignements intérieurs pour qu’il négocie avec Mohamed Merah pour qu’il se rende aux autorités. Des informations qu’El Khabar a obtenu auprès de la famille Merah à Toulouse indiquent que le raid lorsqu’il n’avait pu convaincre Mohamed de se rendre avait au début appelé sa mère Zoulikha puis sa sœur puis l’élément qui était en contact avec lui dans la DCRI. Lorsque « B » a commencé a parlé à Mohamed Merah ce dernier l’a violement insulté et lui a dit « tu étais aussi sur ma liste, je planifiais de te tuer ». Les proches de la famille Merah évoquent ce qu’ils considèrent comme un « fait » qu’il « était un informateur de la DCRI, qu’on lui avait promis des choses qu’ils n’avaient pas tenus, ce dernier s’est alors vengé à sa manière ». Il est nécessaire dans ce contexte de rappeler la déclaration d’un des anciens hommes forts des services de renseignements français, Yves Bonnet qui avait déclaré au journal « le dépêche du midi » que « Mohamed collaborait avec un officier des renseignements, et que la question qui se pose est jusqu’ou allait cette collaboration ». Le démenti du directeur de la DST, Bernard Squarcini des déclarations de son prédécesseur Yves Bonnet, alimente la polémique sur le rôle des services de renseignements dans l’affaire Mohamed Merah, polémique qui prend de l’ampleur en France puisque la commission de contrôle d’application des lois au sénat a demandé entendre les responsables des services de sécurité, mais le gouvernement a refusé. Ce qui suscite selon les observateurs des questions comme : quels sont les ordres que recevait Mohamed Merah recevait de l’officier de renseignements avec lequel il collaborait ? Et dans notre cas : cet officier était-il « B » le français d’origine maghrébine, qui parlait en arabe ou quelqu’un d’autre ? ». Des informations indiquent en plus de cela que « B » qui était en contact permanent avec Mohamed Merah dans la ville de Toulouse a été muté vers une autre ville après qu’il ait été tué, probablement pour l’éloigner de la pression à Toulouse au sujet de l’affaire. Le plus étonnant également est la reconnaissance des responsables de la DCRI d’avoir surveillé le tueur présumé Mohamed Merah depuis 2006, ce qui conforte l’idée que le jeune Mohamed travaillait pour le compte des services depuis un certain temps, à la lumière d’informations publiées par les médias français et israéliens sur des voyages de Mohamed Merah en Afghanistan, au Pakistan en Irak et en Israël. Sachant que sa mère Zoulikha par exemple, qui reste aujourd’hui silencieuse, déclare qu’ « il s’était seulement rendu au Pakistan et que la visite avait pour but de voir la sœur d’une voisine pakistanaise vivant dans le quartier des Izards à Toulouse ». Des proches de la famille Merah ont évoqué « la possibilité que Merah ait été influencé par des idées djihadistes, même si le jeune Mohamed n’était lié ni de près ni de loin au courant salafiste, s’il était vraiment violent, c’était une violence criminelle pas une violence liée à une croyance religieuse ou ce qui peut y ressembler ». Ses proches n’écartent cependant pas la possibilité qu’« un changement ait pu survenir dans l’état de Mohamed Merah, il a pu s’être vengé des services de renseignements à sa manière, ou avoir voulu se repentir à sa propre manière, sachant qu’il avait demandé à rejoindre les rangs de la gendarmerie française mais sa demande avait été refusée ». Ce qui appuie la possibilité que Mohamed n’ait plu été sous le contrôle des services de renseignements quelques temps avant qu’il ne soit encerclé et tué comme ultime solution pour clore son dossier. Ce qui explique les soupçons sur le fait que les services de sécurité ait tué Mohamed Merah volontairement, alors que le « raid » aurait pu le sortir vivant ou le blesser dans le pire des cas, puisque l’appartement dans lequel il était encerclé n’était qu’a deux mètres du sol. * Une de ses sœurs a suggéré de brulé son corps au lieu de l’enterrer dans un cimetière E plus des ambigüités sur le lien entre Mohamed Merah et les renseignements intérieurs, il y a des informations cruciales sur la famille Merah pourrait aider à comprendre l’affaire et les meurtres de trois militaires français, trois enfants et un rabbin, qui lui ont été attribués. Ces informations qu’a obtenu El Khabar indiquent par exemple qu’un des frères de Mohamed était légalement marié à une femme de confession juive, et qu’une de ses sœurs vivait avec un ami de religion juive et qu’ils n’étaient pas encore mariés. Les observateurs doutent donc que Mohamed Merah ait réellement tué les enfants et le rabbin pour venger les enfants palestiniens, parce que s’ « il était l’auteur il aurait d’abord tué l’épouse de son frère ou l’ami de son frère, l’ami de sa sœur était probablement la plus proche personne à tuer, premièrement pour défendre l’honneur de la famille et deuxièmement parce que l’islam interdit à la femme musulmane d’épouser un non musulman ». Le plus étonnant également est qu’une de ses sœurs a suggéré de bruler son corps lorsque le maire de Toulouse, Pierre Cohen avait refusé qu’il ne soit enterré au cimetière, mais d’autres membres de la famille sont intervenus et ont tenu à vouloir l’enterrer selon le rite musulman. Et au milieu de ambigüités de l’affaire Mohamed Merah sa mère Zoulikha reste la clé aux énigmes de Mohmaed, c’est pour cette raison qu’elle se cache de maison en maison à Toulouse, et s’était vu volé sa carte d’identité afin de vendre sa photo aux médias, puisque le prix de sa photo est estimé à 20 mille euros, tout comme la vidéo de son fils dans lequel il apparaît conduisant une « BMW » a été vendu 10 mille euros ».