Un citoyen de Boumerdès, Telkhoukh Sid-Ali, ne sait plus à quel saint se vouer, lui qui avait contracté un prêt Cnep auprès de l’agence de Boumerdès pour l’achat d’un appartement d’un montant de 1,73 million de dinars en date du 6 novembre 2005. L’intéressé, qui a remboursé la totalité du prêt en date du 15 juillet 2007, attend toujours la régularisation de son dossier.
Selon les documents en notre possession, la Cnep aurait omis de faire figurer le nom de la mère en sa qualité de “codébiteur” dans son fichier national. Cette dernière est décédée mais elle était couverte par une assurance de la SAA au même titre que son fils (débiteur principal).
L’intéressé a adressé plusieurs correspondances à la direction de la Cnep, toutes demeurées sans suite. Il s’est déplacé à Alger à maintes reprises, toujours sans résultat. Selon lui, la Cnep reconnaît sa faute “mais personne ne veut prendre de responsabilité”, dit-il. C’est pourquoi il interpelle le P-DG de la Cnep lui demandant d’intervenir pour régler son problème qui dure depuis… sept ans déjà.
