Sommet arabe d’Alger : “Toutes les conditions sont réunies” (Benabderrahmane)

Sommet arabe d’Alger : “Toutes les conditions sont réunies” (Benabderrahmane)

Le Premier ministre, Aimene Benabderrahmane a présenté ce lundi 3 octobre 2022, la politique générale du gouvernement devant l’Assemblée populaire nationale (APN). En effet, ce dernier a présenté les réalisations des différents secteurs devant les députés.

Cette Déclaration a comporté 5 chapitres relatifs au bilan d’action du gouvernement durant la période allant de septembre 2021 à août 2022, dans les différents secteurs ; politique intérieure, relance de l’économie et politique sociale, politique extérieure et le renforcement de la sécurité et de la défense nationales.

En marge de cette déclaration, le Premier ministre, Aimene Benabderrahmane a évoqué le Sommet arabe 2022, en révélant que l’Algérie a réuni toutes les conditions nécessaires pour le succès de ce dernier qui se tiendra les 1er et 2 novembre de l’année en cours à Alger, à travers lequel elle cherche à « reconstruire l’action arabe commune. »

Ben Abderrahmane a affirmé que le sommet arabe en Algérie consacrera, outre la consolidation des valeurs communes et de la solidarité arabe, comme l’a décidé le président de République, le caractère central de la cause palestinienne et la mise à jour de l’Initiative de paix arabe de 2002.

L’Algérie est prête à acceuillir le Sommet arabe

Ajoutant que l’Algérie « a réuni toutes les conditions nécessaires » à la réussite de ce Sommet arabe, à travers lequel elle cherche à « reconstruire l’action arabe commune ». Soulignant dans le même contexte, que les priorités du travail diplomatique du gouvernement dans les années à venir s’articulent autour de la focalisation de son intervention sur la défense des intérêts de la nation et la contribution à la sécurité et à la stabilité régionales.

Le premier ministre a précisé que cet événement aidera au renforcement des relations avec l’Afrique et le monde arabe, le développement du partenariat et la consolidation de la paix dans le monde, ainsi que le redéploiement de la diplomatie économique au service de notre développement. Mais aussi la modernisation de l’outil diplomatique et de la gestion des ressources humaines, et enfin, la définition d’une nouvelle stratégie de notre communauté nationale à l’étranger.