SNC-Lavalin est présente en Algérie depuis plus de 40 ans avec un bureau, quelque 1000 employés et des projets notamment dans les secteurs de l’eau, de l’énergie, des infrastructures routières, ferroviaires et sociales. SNC-Lavalin a su répondre aux situations d’urgence dans les moments cruciaux et déterminants où l’Algérie avait besoin d’accroître ses capacités en eau et en énergie dans des délais exceptionnellement courts.
Le reportage diffusé au Canada jeudi dernier fait référence à une histoire obsolète dans laquelle les personnes impliquées ne font plus partie du groupe SNC-Lavalin depuis de nombreuses années, dont une personne depuis au moins 22 ans ! SNC-Lavalin est aujourd’hui une entreprise engagée à travers des pratiques éthiques et anticorruption. Comme déclaré dans ce reportage par l’un de nos vice-président : « On préfère perdre un contrat plutôt que payer quelqu’un pour l’avoir ».
La Société a créé dans les dix dernières années en Algérie plus de 10 000 emplois pour des ingénieurs, des architectes, des géologues, des informaticiens ou des techniciens hautement qualifiés, tous engagés à mener leurs mandats au bénéfice du développement des infrastructures en Algérie, et à s’impliquer de façon concrète dans les communautés desservies. Elle a investi à la formation de nombreux cadres aux méthodes de gestion et aux techniques les plus modernes. Cette main-d’œuvre est aujourd’hui fort respectée tant au pays qu’à l’international.
Compte tenu de notre engagement historique, l’Algérie est un pays important pour nous. Nous savons qu’il y a un besoin profond en Algérie de soutenir les mesures anticorruption et de bonne gouvernance qui sont maintenant un sujet d’actualité.

Afin de ne pas nuire au travail des autorités, SNC-Lavalin ne commentera pas davantage le reportage en question mais assure aux autorités algériennes son entière collaboration dans leurs enquêtes.
Nawelle Belloufa