Selon une étude de l’université de Stanford : Les Algériens parmi les plus fainéants au monde

Selon une étude de l’université de Stanford : Les Algériens parmi les plus fainéants au monde

L’Algérie fait partie des peuples les plus fainéants au monde, selon les conclusions d’une étude récente effectuée par l’Université de Stanford, aux Etats-Unis d’Amérique, et englobant plus de 111 pays a rapporté Algérie-patriotique.

Une étrange interprétation d’une étude réalisée par l’Université de Stanford, aux Etats-Unis d’Amérique, est relayée par des médias comme la télévision privée Ennahar, en qualifiant le peuple algérien de l’un «des plus fainéant au monde». Cette étude, dont les conclusions sont reprises par le journal arabophone Ennahar, a analysé le niveau de fainéantise et la manière d’être actif pour près de 700 000 personnes à travers le monde en utilisant les téléphones portables. En effet, l’étude qui a été réalisée à l’aide des accéléromètres intégrés dans les smartphones de plus de 700 000 individus dans le monde, pour mesurer l’activité physique dans chaque pays, ne s’intéressait pas à la rentabilité de ses échantillons dans le travail mais à leurs activités physiques pour des recherches scientifiques sur l’obésité. Au terme de cette enquête, l’Indonésie a ravi la vedette en étant le pays le plus fainéant au monde. Ce pays musulman est talonné par un autre pays, l’Arabie Saoudite. Derrière le royaume, on retrouve le Koweït, l’Irak, l’Algérie, la Tunisie et enfin les Emirats arabes unis. En revanche, les médias ayant relayés les résultats de la dite étude voulait faire croire aux Algériens qu’ils sont des fainéants avec preuves scientifiques à l’appui. Il n’est pas vain de rappeler que l’Algérie importe tout, y compris la main-d’œuvre, qui est très sollicitée dans le secteur du bâtiment. A cela s’ajoute la présence de plus en plus remarquée de main-d’œuvre qualifiée dans le secteur de la santé, notamment les Cubains. En outre, l’Algérie enregistre un des taux les plus élevés au monde en termes de chômage des jeunes diplômés, ce qui dénote une inadéquation entre la formation et l’emploi.

Ismain