Au moment où les déclarations de leaders politiques et hauts responsables de l’État dont le Premier ministre, se contredisent sur un potentiel remaniement ministériel, le secrétaire général du MPA ne cache pas ses ambitions de retrouver, un jour proche ou lointain, un statut de ministre. Et qu’importe le portefeuille à prendre.
“Être ministre, c’est remplir une mission et non pas exercer un métier. Peut-être que d’ici 2 ou 5 ans, je retournerai au gouvernement. On verra”. Il a bien entendu tenu à préciser, pour maintenir toutes ses chances, que les désignations au gouvernement relèvent des prérogatives du président de la République.
Il a évité, néanmoins d’expliquer les raisons de son départ du gouvernement. Il s’est limité à dire qu’il n’avait aucun conflit avec le Premier ministre Abdelmalek Sellal ou le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb.
Mais d’aucuns ont remarqué, jeudi dernier, à Oran, que le SG du MPA continuait à s’exprimer en étroite harmonie avec les décisions gouvernementales..
