Comme tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse, d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde, de défendre l’indépendance des médias et de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession.
Comme chaque année, le secrétaire général a mis en exergue cette journée commémorative du 3 mai qui permet d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse. C’est un moment de réflexion pour les médias professionnels sur les questions relatives à la liberté de la presse et à la déontologie, car selon Saâdani, le journalisme contribue à dénoncer les injustices, la corruption et les abus de pouvoir.
Il a déclaré que la photo «tweetée» par Valls ne changera pas le Président en Algérie et n’amènera pas un nouveau et que ceux qui rêvent d’un changement devront attendre 2019.
Il a critiqué la presse et la télé françaises, sans les citer, pour leur empressement à dénigrer l’Algérie et ses institutions dont la plus prestigieuse, le Président de la République, en donnant de la voix aux détracteurs de l’Algérie dont Ferhat M’henni, le porte-voix d’une France revancharde et aux ordres des lobbies sionistes.