Pour les produits alimentaires, l’éducation et la santé, lit-on dans le document, qui ont bénéficié en 2015 d’environ 30% du total des subventions, les dépenses de la population la plus riche ont été 4,5 fois plus grandes que les dépenses de la population la moins riche.
Pour les transports, qui constituent du fait du prix actuel du carburant l’un des segments qui bénéficient le plus des subventions implicites, “les dépenses de la première catégorie ont été 27 fois plus grandes que celles de la seconde catégorie”. Ce passage veut justifier l’abandon des subventions qui, selon le document, profite aux riches.