Raouraoua-Halilhodzic, aucun accord n’a été trouvé

Raouraoua-Halilhodzic, aucun accord n’a été trouvé
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Contrairement à ce qui se dit çà et là, le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, et l’entraîneur national ne sont pas encore parvenus à un accord concernant la prolongation du contrat de Vahid Halilhodzic jusqu’en 2015. Depuis leur dernière réunion tenue samedi au siège de la FAF, les deux hommes ne se sont pas de nouveau rencontrés. Raouraoua s’est rendu à Zurich, pour assister aux travaux de la commission juridique de la FIFA,  sans avoir la moindre réponse du Bosniaque. Ce dernier tarde, en effet, à trancher pour les raisons déjà citées sur ces mêmes colonnes, lors de nos dernières livraisons. Raouraoua ne veut pas se prononcer sur l’avenir de la barre technique de l’EN, avant d’avoir une réponse claire du coach Vahid.

Les membres du BF auront leur mot à dire

Vahid Halilhodzic tarde à rendre sa réponse. Le sélectionneur national a demandé un temps de réflexion, avant de trancher. Par ailleurs, le président Mohamed Raouraoua compte bien, selon nos sources, associer les membres du Bureau fédéral à la décision de prolonger l’actuel coach de l’EN jusqu’au mois de février 2015. Ce qui signifie que le BF aura son mot à dire à ce sujet.

Raouraoua et Halilhodzic l’ont décidé

LG Algérie

Les Verts seront isolés du monde extérieur

Les joueurs de l’Equipe Nationale seront placés sous haute protection au Brésil. C’est ce qui a été décidé, selon notre source lors de la dernière réunion qui avait regroupé le président de la FAF et les membres du staff technique de l’EN. Les Verts seront isolés du monde extérieur et ni les journalistes, ni toutes autres personnes de l’extérieur ne pourront approcher des camarades de Bougherra.

Des gardes du corps veilleront à leur sécurité

En plus des agents de sécurités brésiliens qui veilleront au grain, une équipe de garde de corps algériens, sera du voyage avec les joueurs pour assurer leur tranquillité 24/24. Même les hôtels choisis par la FAF seront loin de la ville de Sao Paulo et leurs portes seront fermées aux journalistes. Une politique déjà prônée lors de la dernière Coupe d’Afrique qui n’a, malheureusement pas évité à l’Algérie de quitter assez prématurément cette compétition.