En fait, depuis l’épopée de l’Angola, durant la CAN 2010, l’Algérie aspire à mieux et il est tout à fait légitime que les Algériens exigent plus de cette équipe, et par conséquent soient plus fermes avec Saâdane, d’autant plus que la CAN 2012 est aux portes alors que les Fennecs peinent à jouer un beau football et à gagner.
La décision prise par Rabah Saâdane de démissionner de son poste de sélectionneur national a été salué par tous comme une « décision courageuse », car elle permet de passer à d’autres étapes de la vie de l’équipa nationale, à un moment ou beaucoup de choses –et d’hommes- sont remise en cause.
En fait, depuis l’épopée de l’Angola, durant la CAN 2010, l’Algérie aspire à mieux et il est tout à fait légitime que les Algériens exigent plus de cette équipe, et par conséquent soient plus fermes avec Saâdane, d’autant plus que la CAN 2012 est aux portes alors que les Fennecs peinent à jouer un beau football et à gagner.
Le premier homme de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, ainsi que Rabah Saâdane, le désormais ex-entraîneur des Verts, ont beaucoup contribué à redorer le blason de l’Algérie sur la scène continentale et internationale, avec des parcours plus qu’honorable à la CAN et au Mondial 2010, après une période de disette et de vaches maigres qui a duré le temps record de 24 années entières.
Par voie de conséquence, il ne faut pas se montrer ingrat et oublier les joies de Benguela, la victoire contre la Côte-d’Ivoire, le match historique contre l’Angleterre et cette folle épopée d’entre janvier et juillet 2010.
Ce furent des moments magiques, historiques, ou tout le peuple s’est brusquement concilié avec son équipe nationale, et tout cela grâce, justement, au travail de fond accompli par les deux hommes.
