Radio algérienne : conventions de partenariat avec les radios communautaires de France

Radio algérienne : conventions de partenariat avec les radios communautaires de France

Six conventions de partenariat et de coopération ont été signées, samedi à Alger, entre la radio Algérienne et des radios communautaires basées en France, en présence du ministre de la Communication, Mohamed Said.

Les conventions visent à « développer un partenariat durable et mutuellement bénéfique pour répondre aux besoins et attentes de la communauté algérienne en Europe et particulièrement celle résidant en France ».

Ces conventions ont été signées, d’une part, par le directeur général de la radio Algérienne et d’autre part par les directeurs des radios communautaires basées en France .

Il s’agit de Djina Kettane, directrice de Radio Beur FM, Tarek Mami, directeur de Radio France Maghre, Slimane Tir, directeur de Radio Pastel, Ali Abed, directeur de Radio Salem, Abdelmajid Deboussi, directeur de Radio Soleil et Fouad Charki, directeur de Radio trait d’union.

Ces conventions permettront notamment de renforcer les échanges des programmes à caractère culturel, artistique, économique, politique et sportif, la mise en place de coproductions et de duplex, l’échange en matière d’assistance technique et logistique ainsi que l’élargissement du partenariat au volet formation.

A cet occasion, le ministre de la Communication a insisté sur l’importance de cet évènement, indiquant que ces conventions permettront de « renforcer les liens entre les Algériens locaux et la Communauté algérienne en Europe et particulièrement celle résidant en France ».

Cet évènement revêt « une importance capitale », a ajouté Mohamed Said par le fait, a-t-il argué, qu’il représentait un « engagement et une continuité » exigeant un approfondissement de cette coopération afin qu’elle puisse être élargie a « d’autres domaines de manière à accueillir d’autres radios à l’avenir ».

A cet effet, le ministre a plaidé pour assurer la « continuité et la pérennité » à ce genre de coopération.

Le ministre a affirmé que les « signataires (6+1) de cette coopération doivent veiller à sa continuité », soulignant l’intérêt porté à celle-ci par son « officialisation ».