Hamdoulillah, c’est la deuxième qualification de suite après celles que nous avons connues dans les années 80 (Mondial 82 et 86). Je suis content de cette qualification qui est très bénéfique pour le football et le sport algérien en général. Le plus important était la victoire.
Le match a été très difficile car les deux équipes étaient tétanisées par l’enjeu. Elles ne se sont jamais libérées de la pression, ce qui a donné lieu à un match très haché. C’est ce qui explique probablement le rendement des deux équipes. Il y avait beaucoup de déchets dans le jeu. Tout comme les Algériens, les Burkinabés n’ont rien montré, et c’est tant mieux parce que les Verts n’étaient pas dans un jour faste en raison de l’enjeu.”