2000 chefs d’entreprises
-Que représente-t-il par rapport au total des entrepreneurs privés en Algérie tant au niveau de la sphère réelle qu’informelle ?
b-Quelle est la structuration par secteur d’activité des 2000 entreprises distinguant le chiffre d’affaires relevant de la production locale, de la sphère commerciale interne et des activités liées à l’importation

– Quelle est la nature juridique des sociétés : SARL, sociétés par actions ou autres.
300.000 travailleurs
-Quelle est la part de l’emploi créée par rapport à la population active d’environ 12 millions et en activité d’environ 11 millions.
-Quelle est la masse salariale octroyée et sa ventilation par qualification
-Etant à l’aube de la quatrième révolution économique, le capital argent n’étant qu’un moyen, combien de ses adhérents ont des laboratoires de recherche ?
4000 milliards de dinars de chiffre d’affaires
Sur les 40 milliards de dollars de chiffre d’affaires pour tester la contribution au développement national par secteurs et exactement datés : 2006/2016.
-sa part dans le chiffre global du pays secteur d’Etat/secteur privé
-sa part par rapport au chiffre d’affaires de Sonatrach
-sa part de ce chiffre d’affaires par rapport à la sphère informelle ?
-La part de l’investissement productif du FCE dans le total investissement public/privé entre 2006/2016.
Mais les indicateurs les plus pertinents sont :la création de valeur ajoutée du FCE, le profit net de toutes les entreprises du FCE , déduction des charges, le paiement des impôts à l’Etat des membres du FCE, la participation du FCE aux exportations hors hydrocarbures par produits et le montant des crédits bancaires et le montant des exonérations fiscales reçus par cette organisation.
En résumé, nous avons des données assez précises à ces questions mais voudrions les confronter avec celles du FCE. Notre objectif, loin des querelles stériles, en ces moments de tensions budgétaires et de grands bouleversements géostratégiques dans la région, est de privilégier les intérêts supérieurs de l’Algérie avant tout, sans distinguer le secteur d’Etat et el secteur privé, devant contribuer tous ensemble au développement national par un large débat productif.