La pression fait partie du lot de sentiments que ressentent les joueurs de football, y compris les professionnels qui ne sont pas non plus épargnés quel que soit leur rang, leur expérience et le club dans lequel ils évoluent.
Qu’ils soient aguerris ou pas, il y a des moments de solitude qui font que ces derniers ressentent des craintes au fur et à mesure que l’heure H. Pourtant, il semble que ce n’est pas le cas de nos quatre internationaux, en l’occurrence «Magic» Bouguerra, la cheville ouvrière, le capitaine Yazid Mansouri, le fougueux défenseur latéral gauche et le joueur
le plus craint par les Pharaons, Nadir Belhadj, et enfin Amri Chadli qui retrouve toute la plénitude de ses moyens physiques après une blessure qui l’a éloignée des terrains, qui semblent si confiants en dépit de l’importance de l’enjeu qui n’est autre que le fameux sésame pour le pays de Nelson Mandela.
Les joueurs font la fête en espérant que celle-ci se prolonge au-delà du 14 novembre incha Allah. Le peuple algérien va vivre au rythme de ses protégés et espère vivement que les poulains de Saâdane feront durer leur joie, eux qui furent sevrés 23 ans durant.
H. M.