Pris en flagrant délit d’espionnage massif et en temps réel des communications, qui transitent via Facebook, Google et Yahoo notamment, les Etats-Unis n’ont pas compté l’Algérie parmi les pays les plus surveillés par la NSA et pour cause ; la surveillance était proportionnelle au débit et aux coupures d’internet en Algérie.
Ainsi, l’Algérie, apparaissant en vert clair sur la carte de la CIA, fait partie des zones les moins concernées par le dispositif de cyber-surveillance américain, contrairement à l’Iran, qui est le pays où les Etats-Unis collectent la plus grande quantité de renseignements au monde avec quelques 14 milliards d’informations recueillies en mars 2013.