Par M. Aziza.

La Fédération a, ainsi, appelé les services vétérinaires du ministère de l’Agriculture, à redoubler de vigilance en renforçant le contrôle et en interdisant la vente libre des médicaments, sans ordonnances, émises par le vétérinaire lui-même. Il a été, aussi, exigé de contrôler l’alimentation fournie aux ovins ainsi que l’eau destinée au cheptel.
Sur ce point précis, les responsables de la Fédération ont beaucoup insisté sur une alimentation de qualité qui doit être mise à la disposition des animaux, en recommandant une alimentation naturelle pour l’engraissement des moutons. La Fédération a même exigé une vente des moutons avec des bons de la part des éleveurs pour assurer une traçabilité et pour situer les responsabilité, en cas de problèmes.