ALGER – L’opération de choix des sites de logements pour les souscripteurs au programme de location-vente AADL 2 sera lancée en juillet prochain, a annoncé mardi le directeur général de l’Agence nationale d’amélioration et de développement du logement (AADL) Tarek Belaribi.
« Vu le nombre très important de souscripteurs d’AADL 2, et pour mieux se préparer sur les plans des humain et matériel, le choix des sites sera pour la première semaine ou la première quinzaine du mois de juillet », a-t-il déclaré sur les ondes de la radio nationale.
« Pour les souscripteurs de AADL 2, il y aura quelques wilayas où il n’y a pas de souscripteurs AADL 1, on passera aux pré-affectations et au choix des sites puis à la remise des clés d’ici la fin de l’année », a précisé M. Belaribi.
Selon le même responsable, l’agence se penche actuellement sur la remise des pré-affectations et sur le paiement des la troisième tranche du prix du logement pour les souscripteurs de l’ancien programme (2001-2002).
« La cadence de réception des souscripteurs pour le paiement de la troisième tranche a augmenté de 300 souscripteurs/jour à 700/jour au niveau d’Alger », a-t-il précisé, ajoutant que le nombre total des souscripteurs concernés par les décisions de pré-affectations AADL 1 au niveau national est de 40.000 souscripteurs dont 20.000 à Alger.
L’AADL a entamé récemment la remise des clés à 600 souscripteurs AADL 2 de la wilaya d’Annaba, a-t-il rappelé.
Selon lui, il y a 80.000 souscripteurs à l’ancien programme au niveau national dont 66.000 souscripteurs à Alger, soulignant d’autre part que 185.000 unités sont actuellement en cours de réalisation dont 93.000 unités à Alger.
« Tous les projets AADL lancés en 2013 doivent être achevés en 2016 et couvrir pratiquement les souscripteurs », a-t-il insisté.
M. Belaribi a noté, d’autre part, que 39.512 recours de demandeur de logements AADL ont été réceptionnés au niveau de l’agence, dont 15.519 restent encore à étudier.
Il a indiqué que parmi ces recours, traités par une commission nationale ad-hoc, 10.000 recours ont été rejetés « parce que ne présentant pas des documents fiables les justifiant ».